Ensemble des lames inclinées vers le bas et l'extérieur disposées dans les ouïes des clochers et des beffrois. Les lames, généralement de types persiennes et fixées directement dans les ouvertures ou dans un châssis en charpente, sont le plus souvent en bois nu ou recouvertes de métal, d’ardoises ou de plomb.

Partie semi-circulaire ou polygonale, à l'arrière du cœur d'une église.

Petite chapelle en hémicycle autour de l'abside principale ou sur les bras du transept d'une église.

La feuille d'acanthe est un motif ornemental très utilisé dans l'architecture grecque classique, l'architecture romaine, l'architecture romane, l'architecture néoclassique et l'architecture éclectique. La menuiserie et l'ébénisterie en font également un grand usage à partir du style Renaissance jusqu'au style Louis XVI.

Socle disposé aux extrémités ou au sommet d'un fronton ou d'un pignon et servant de support à des statues, à des vases ou à d'autres ornements.

Clef de voûte d’un arc ornementalisée. Dans certains cas elle peut s’adjoindre d’un mascaron.

Pièce de bois placée suivant un angle entre 30 et 45° sous l'entrait retroussé d’une ferme de charpente et joignant l'arbalétrier situé sous celle-ci afin de soulager l'assemblage à la jonction des deux pièces.

Conduite d'eau. L'aqueduc peut être souterrain ou porté au-dessus du sol par une suite d'arcades (Note applicative : ne pas appeler aqueduc mais pont aqueduc les sections aériennes de la conduite d'eau)

Ornement au sommet d'un édifice et qui en forme le couronnement : acrotères, balustrades, vases, trophées, groupes, statues, pinacles, clochetons, pyramides, etc.

L'Ancelle (ou tavillon) est une tuile de bois servant de revêtement sur les toitures et les façades. Un couvrement de tavaillons sert à la fois d'isolant thermique traditionnel et de protection contre les intempéries. Il est répandu dans de très nombreuses régions du monde.

Il est généralement réalisé en mélèze ou en épicéa.

Pièce, généralement en fer, passée dans un œil de chaîne pour s'opposer à l'écartement de parois verticales.

Elément maçonnée préfabriquée ou coulée en place, installée au-dessus de l'allège, destinée à supporter la traverse basse du dormant de la fenêtre, tout en évacuant l'eau de la baie à l'extérieur sans ruisseler sur la façade.

Motif ornemental composé de rinceaux végétaux pouvant former des entrelacs plus ou moins complexes. 

Pièce de bois posée obliquement. Les arbalétriers portent les versants du toit. Ils sont assemblés généralement à leur base dans un entrait.

Série d'arcs de petite dimension. Elle peut être « à claire-voie » ou bien « aveugle » lorsqu'il s'agit d'ouvertures simulées ou au fond muré.

Arc bandé dans un mur plein qui a pour but l'allègement du poids du mur sur le linteau en repoussant les charges sur les côtés. Les arcs de décharges sont souvent soit en pierre soit en brique.

Partie de l’entablement posée immédiatement sur les colonnes et portant la frise et la corniche.

Moulure plus ou moins large en saillie sur la tête des voussoirs d'une arcade, dont elle suit et orne le contour.

Moulure arrondie, sorte d'anneau ou de boudin, séparant le chapiteau de la colonne.

Petit étage placé au sommet d'une construction. Dans l'architecture grecque, il est réservé à des inscriptions.

Partie d'un bâtiment en saillie sur une façade d'un bâtiment. Il est généralement situé au centre de celui-ci pour en marquer l'entrée ou la pièce principale.