Calfeutrement, en bois, en métal ou en PVC, disposée sous l'avancée d'un toit afin d'obturer les vides existant entre la sous-face de la couverture et le nu de la façade afin d'interdire l'accès aux oiseaux et petits rongeurs..

Auvent devant l'entrée d'une église, où les paroissiens se réunissent pour bavarder à l'abri.

Elément sculpté ou peint, doté d'un style, pour indiquer le temps solaire.

Petit clocher découpé à jour dont on surmonte ordinairement les dômes. On dit aussi lanterne.

Fleuron sculpté représentant une feuille ou une fleur, décorant les extrémités hautes d’une lucarne en pierre .

Longs canaux verticaux et parallèles, sur une colonne.

Lucarne dont le toit est constitué de trois versants : deux versants latéraux qui rejoignent le toit principal de la maison, formant deux noues, et un versant triangulaire ou croupe à l’avant.

Panneau ovale typique de l'architecture baroque, avec des bordures crantées ou en volutes, utilisé comme cadre ou motif décoratif sur les façades.

Monument funéraire élevé à la mémoire d'une personne ou d'un groupe de personnes et dont la forme ou l'ornementation rappelle un tombeau, mais qui ne contient pas de corps.

Système en pierre, en bois ou en métal, noyé dans la maçonnerie pour éviter sa dislocation.

Pièce ou petit vaisseau contenant ou ayant contenu un autel et formant partie constituante d'une église ou d'un édifice civil. On désigne également sous le nom de chapelle, de petites églises isolées sans fonction paroissiale.

Ouverture étroite percée dans un mur de terrassement pour permettre d'évacuer des eaux d'infiltration, ou dans un mur de clôture construit près d'un cours d'eau pour permettre aux eaux de crues d'entrer et de sortir librement de l'enclos et éviter que le mur ne soit renversé.

Elément en pierre, brique, béton, préfabriqué, protégeant le faîte d'un mur.

Partie supérieure d'une colonne. Sa forme et sa décoration indiquent généralement l'ordre architectural auquel il appartient (dorique, ionique, corinthien etc.).

Pierre centrale d'un arc de voûte.

Dispositif en métal ou en pierre situé au pied d'une porte cochère ou d'un mur et qui est destiné à empêcher les roues de détériorer le mur.

Pouvant prendre la forme d'une petite colonne, d'une borne ou d'un arc plus ou moins sculpté placé de chaque côté d'une porte cochère, cette protection des murs contre le frottement des roues des carrosses est parfois remplacée par une barrière de bois.

Au Moyen Âge, demeure seigneuriale ou royale, en général fortifiée et défendue par des douves. Par la suite, demeure de grandes dimensions liée à une vaste propriété, et comprenant parc et dépendances.

Important : Ne pas appeler château une simple maison de villégiature sans domaine agricole et/ou forestier contemporain de sa construction. Si nécessaire, employer le champ : "dit château ...".

Petit ouvrage en terrer-cuite, zinc ou plomb placé sur le versant d'un toit pour aérer les combles.

Petit canal en pierre ou en bois recouvert de métal, placé à la base du versant d'un toit pour recevoir les eaux de pluie et les conduire vers les évacuations.

Extrémité postérieure d'une église, vue de l'extérieur.

Habillage vertical d'ardoises sur partie ou totalité d'un mur.

C'est une pierre taillée en biseau (forme de coin tronqué par la pointe) constituant un élément de constitution d'un arc.

Pièce de charpente dans laquelle on emboîte, on assemble, par entailles ou par clavages les solives, les pannes etc.., pour les reprendre. Soit au droit d'une trémie d'escalier, de conduit de fumée, soit au droit d'une croisée, d'un châssis de toiture.

Cette pièce peut être également en métallique.

Dans les structures contemporaines le chevêtre peut être en béton.

Pierre taillée en biseau (forme de coin tronqué par la pointe) constituant un élément de couvrement d'un arc, d'une plate-bande ou d'une voûte.

Pierre centrale d'un arc de voûte.

Un vaisseau latéral a la nef d'une église. Le terme « collatéral » a supplante l’appellation « bas-côté », plus courante jadis.

Un droit qu’il ne faut pas confondre avec celui de pigeonnier, nettement moins chic, réservé aux propriétaires de trente-six arpents de terres (une douzaine d’hectares), qui leur permettait de construire un pigeonnier en bois, de seize pieds de hauteur et contenant de soixante à cent-vingt boulins (trous servant de nids) même si ces données variaient d’une région à l’autre. On faisait donc une vraie distinction entre colombier et pigeonnier.

Support ornemental avec un contour courbé servant de support à un balcon  ou un élément en saillie.

Paroi constituant le fond d'un foyer de cheminée, distinct du mur auquel est adossée cette cheminée.  Cheminée à foyer ouvert.

Plaque de fonte décorative disposée verticalement au fond d'une cheminée à foyer ouvert.

Pièce de bois oblique que l'on trouve dans la construction d'une charpente.

Elle est placée entre les arbalétriers et l'entrait.

Ensemble maçonné, taillé en saillie contre un mur, afin de le solidifier.

Panneau pivotant sur un de ses bord verticaux, servant à doubler intérieurement un châssis vitré.

Motif ornemental ayant la forme d'une coquille Saint-Jacques.

Élément de structure d'un édifice, en pierre, bois ou métal, de section verticale carrée ou rectangulaire, encastré dans l'épaisseur du mur et portant une charge sur sa partie saillante.

Ne pas confondre avec le "modillon"

L'un des styles antiques de colonne. L’ordre corinthien est le plus orné. Il est caractérisé par des motifs végétaux sur le chapiteau et une colonne plus élancée.

Couronnement d'un entablement, d'un piédestal, d'un bâtiment, d'une élévation ... composé de moulures superposées, en saillies les unes sur les autres.

La corniche est horizontale ou inclinée pour suivre la pente d'un pignon ou d'un fronton.

Banc ménagé dans l'embrasure d'une fenêtre.

Les embrasures étroites sont pourvues d'un coussiège unique tandis que les larges baies peuvent recevoir des coussièges doubles se faisant face.

Une couvertine est un élément de protection et d'étanchéité de la partie supérieure d'un muret ou d'un acrotère. Elle peut être en pierre, en terre cuite, en acier laqué, en zinc, en cuivre, en aluminium, en bitume ou en plomb. 

Petite pièce de bois, oblique, posée en saillie sur le bas d'un chevron, adoucissant la pente du versant du toit dans sa partie basse et ayant pour but de reculer l'égout d'un toit au-delà du mur.

Sorte de crépine que l’on place dans les gouttières au point de départ du tuyau de descente de l’eau pour éviter l’entrée de feuilles mortes.

Ornements terminés par des têtes de feuillages, par des bourgeons enroulés.

Versant triangulaire et incliné d'un toit, réunissant ses extrémités  deux longs pans.

C'est une pierre taillée en biseau (forme de coin tronqué par la pointe) constituant un élément de constitution d'un arc qui se retourne horizontalement pour former tas-de-charge

Voûte en forme de quart de sphère formant une abside, habituellement assise ou en tas-de-charge, elle peut également être appareillée en limaçon ou en coquille ...

C’est une console d'encorbellement constituée d’une pierre saillante dont la forme rappelle le dessous d'une lampe d'église, servant à supporter une base de colonne, la retombée d'un arc, des nervures de voûte ou encore une statue.

Partie inférieure d’un élément d’architecture, d’une modénature. formé d'un seul élément taillé en cône, en pyramide renversée, ou en quart de sphère. Il peut être mouluré, feuillagé, figuré ou historié.

Ne pas confondre avec le "modillon".