Chacun des côtés obliques d'une structure triangulaire. Un fronton, un pignon, un toit, un escalier etc...

Ornement utilisé pour décorer le sommet d'un mur pignon.

Découpes de pierre en forme de dents qui garnissent l’intérieur des compartiments des meneaux de fenêtres ou des intrados d’arcs, ou de gâbles de pignons.

Sur un mur de façade, canal taillé dans la pierre, amplifiant ou simulant le tracé des joints de l'appareillage.

Procédé qui consiste à consolider par un chainage armé les extrémités obliques des pignons 

Armature en pierre taillée d'une baie. On distingue généralement :

• La partie haute du remplage appelé "réseau" qui peut comporter une rosace, des soufflets (de forme symétrique) et des mouchettes (de forme asymétrique, en vessie de poisson).
• La partie basse où alternent les "meneaux" (éléments en pierre taillée) et les "lancettes" (vides séparant les meneaux). Les divisions obtenues par le remplage sont appelées « jours » ou « ajours ».

Ouvrage «décoratif» en ardoise, ou tuile plate, raccordant un versant avec une «pénétration» (lucarne, souche). Forme une «déversée» accentuée, réalisé avec des «fendis».

Ornement de feuillage s'enroulent en volute.

Limite latérale d'un versant de toit.

Bourrelet de pierre dépassant la toiture au sommet des murs pignons.

Une rosace est une ouverture en forme de rose dans un mur. Cette ouverture est destinée à fournir le jour mais pas la vue. La rosace est préalablement aussi l'élément de décor sculpté, sans aucune ouverture. Ces éléments présentent une forme circulaire symétrique centrée avec des portions de courbes. En histoire de l'art, c'est un grand vitrail, soit ensemble de vitraux de forme circulaire décorant une église.

Rive d’un pan de toiture terminé par un solin en mortier de ciment ; les tuiles ou ardoises de rive sont insérées dans la ruellée, et éventuellement relevées en dévirure.

Si le toit comporte un chevron de rive, il n’est que partiellement pris dans la ruellée.